Wednesday, August 26, 2015

PDF gratuit Water Knife, by Paolo Bacigalupi

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Water Knife, by Paolo Bacigalupi

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Water Knife, by Paolo Bacigalupi

Détails sur le produit

Poche: 510 pages

Editeur : J'ai lu (11 avril 2018)

Collection : J'ai lu

Langue : Français

ISBN-10: 2290138371

ISBN-13: 978-2290138373

Dimensions du produit:

17,8 x 2,8 x 11 cm

Moyenne des commentaires client :

4.0 étoiles sur 5

3 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

8.444 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

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"The water knife" starts slowly. It reads like a thriller and gets really good when it speeds up midway. A good reading all in all if you can reach the tipping point.

2 ans après.Paolo Bacigalupi revient Au Diable Vauvert deux ans après la publication en France du recueil La Fille-flûte et autres fragments de futurs brisés. Entre deux, on a eu droit à quelques autres romans, La Fabrique du Doute, Zombie Ball ou encore la novella L’Alchimiste de Khaïm.Seulement voilà , il faut surtout citer La Fille-Flûte car Water Knife n’est pas étranger à ce recueil. Les plus assidus parmi les lecteurs de l’américain se souviendront qu’à l’intérieur de la Fille-Flûte se trouvait une nouvelle intitulée Le Chasseur de Tamaris qui parlait, notamment, de la sécheresse qui s’était abattue sur les Etats-Unis dans un futur proche. C’est dans cette histoire que Paolo Bacigalupi s’est engouffré pour construire Water Knife.Oubliez donc le Royaume Thaïlandais de La Fille-Automate et pénétrez au cœur de l’Arizona.On le savait déjà par ses écrits précédents (qu’on vous invite forcément à lire au plus vite), Paolo Bacigalupi est un auteur très préoccupé par la question environnementale. Le cauchemar de la Fille-Automate nous le démontrait bien avec ses OGMs en pagaille et ses épidémies redoutables. Sachez-le cependant, les Etats-(dés)Unis de Water Knife n’ont rien à envier au Royaume Thaïlandais. La sécheresse a atteint un point inquiétant dans le futur de Water Knife. Les Etats-Unis se déchirent pour les dernières rivières et aquifères. Tandis que des villes entières se meurent, d’autres fleurissent sous la houlette d’hommes et de femmes d’affaires bien décidés à accaparer ce qu’il reste de ressources en eau. C’est le cas notamment de Catherine Case de Vegas qui tient en laisse ses compétiteurs de l’Arizona et de la Californie pour la possession du fleuve Colorado. Pour cela, elle entraîne des milices sanguinaires pour garder ses frontières, construit des environnements autonomes et surtout, infiltrent les autres Etats pour garder le contrôle. Angel fait partie de ces hommes-là , des agents spéciaux capables de détruire des systèmes entiers et de retourner des situations à l’avantage de Vegas même dans les cas les plus désespérés. On les appelle des Water Knife. C’est à Angel que fait appel Catherine Case pour démêler la situation épineuse de Phoenix, une ville en plein effondrement mais qui pourrait bien mettre la main sur des documents embarrassants. Angel devra composer avec Lucy, une journaliste bien décidée à faire éclater la vérité coûte que coûte, et Maria, une adolescente miséreuse qui vit sous la coupe d’un gang impitoyable. L’eau va couler. Le sang également.Bâti comme un thriller, Water Knife renoue avec l’inventivité folle de la Fille-Automate mais dans une toute autre atmosphère. A mi-chemin entre l’ambiance mexicaine (eh ! pendejo) et la pure tradition américaine, l’univers de Water Knife est la plus grosse réussite de ce roman de 485 pages. Mais nous y reviendrons. Pour ce qui est de l’histoire en elle-même, et pour évacuer les choses qui fâchent, Paolo Bacigalupi s’avère un cran moins bon que pour La Fille-Automate. Vécue à travers les yeux de trois personnages (Maria, Angel et Lucy), l’aventure de Water Knife se révèle un thriller rythmé et vif. L’écriture relevée et nerveuse de Paolo n’y est d’ailleurs pas pour rien. Ce qui fâche par contre, c’est le manque d’originalité dans les relations qui unissent Lucy et Angel, avec des événements que l’on voit venir à des kilomètres. Heureusement, il reste Maria, dont le récit s’avère bien plus satisfaisant et plus proche, en un sens, de celui d’Emiko. Son arc à elle s’avère cruel, touchant et riche en rebondissements inattendus. Autre point décevant sur le plan purement narratif, la traque des droits pour l’Eau et le mystère de « qui les possède en fait ? » ne tient pas très longtemps, les lecteurs les plus assidus auront rapidement résolu le mystère. Peut-être est-ce le fait d’avoir une vue d’ensemble et non de devoir assembler des pièces du puzzle comme doit le faire Angel ?Revenons pour l’heure au reste, c’est-à -dire l’univers et les thématiques de Water Knife. Et là , autant le dire tout de suite, c’est du lourd. Paolo se penche cette fois sur LA ressource primordiale pour l’homme : l’eau. Son futur apocalyptique imagine la fameuse guerre de l’eau, en l’occurrence ici une quasi-guerre civile. Alors que nombre de scientifiques et écologistes prédisent que cette ressource va vite venir à manquer, personne ne semble y prêter attention. Les conséquences de la sécheresse décrites par l’américain donnent froid dans le dos. Non seulement les hommes se bouffent entre eux pour les dernières gouttes d’eau mais la pénurie fait ressortir à la fois les tréfonds de l’âme humaine et creuse le fossé riches/pauvres. Ce qui impressionne clairement dans Water Knife, c’est l’imagination débridée (mais toujours crédible, affreusement crédible en réalité) de Paolo. Il explique non seulement les conséquences géopolitiques d’une telle catastrophe mais il l’exploite à fond par une myriade de petits détails technologiques ou non. Plus loin que la scission des Etats-Unis ou du Mexique, Water Knife décrit une résurgence des sectes avec les Merry Perry, les clivages sociaux entre les camps de réfugiés et les riches fivers qui vivent dans des habitats quasiment autonomes, les technologies pour convertir l’urine en eau (Les Clearsac), les JohnnyTruck, l’effet sur l’échange monétaire (le yuan semble être mieux vu que le dollars), ou encore l’évolution sanitaire de la Croix-Rouge et consorts. Avec toutes ces trouvailles, l’écrivain nous jette dans une arène féroce où l’homme redevient une bête prête à mordre pour sa gamelle. Le résultat ? Une impressionnante apocalypse environnementale.Water Knife, malgré ses quelques faiblesses narratives, est un roman d’une extrême importance. Lucide jusqu’au bout, notamment par une fin cruelle et magnifique, Paolo Bacigalupi charge sur notre inconscience moderne, notre gaspillage de l’eau et pour tout dire, notre suicide collectif. Et l’américain n’épargne personne, assénant de méchants coups de bottes aux organisations humanitaires qui font leur beurre sur la misère humaine pour encaisser les dividendes. Ou sur nous, pauvres pantins incapables de réaliser que nous courons à notre perte et qui, en définitive, n’en ont rien à faire. Cette course à l’individualisme, qu’elle soit étatique ou purement individuelle, prend une immense place dans Water Knife. L’horreur de la situation est d’autant plus grande que même devant une catastrophe de cette ampleur, l’homme cherche juste à tirer la couverture, pas à partager. En fait, surtout pas à partager. Et encore moins à être raisonnable. L’a-t-on jamais été de toute façon ? Ainsi, le roman offre des visions proprement saisissantes, des villes entières prises dans des tempêtes de sables qui font penser à un avant-gout de l’enfer, une fusillade qui tourne à la guerre ouverte, une ville qui meurt en saignant ses réfugiés sur des kilomètres…Paolo Bacigalupi fait preuve d’un sens pictural certain en plus de constamment questionner son lecteur.Vous l’aurez compris, Water Knife a certes quelques défauts et n’atteint pas la grandeur narrative d’une Fille-Automate, mais reste un grand moment de lecture. L’intelligence et la lucidité de son auteur en font un roman nécessaire qui fait froid dans le dos. La vision qui s’en échappe s’insinue vicieusement dans l’esprit du lecteur pour lui murmurer que la fin est proche, qu’il est temps d’en prendre conscience. Rien que pour cela, Water Knife doit finir entre vos mains…avant que l’eau ne cesse d’y couler.Just A Word

Excellente lecture, très plaisante ai adoré et lu d’une traite.

"The Water Knife" is and engaging and entertaining read, even informative in that it presents a vision of something that is nearly possible in our lifetime. Bacigalupi serves up something here that isn't exactly apocalyptic, but is more frightening in that you can see clearly how it could be the near future. Corporate feudalism reigns over resources and people, and water is a commodity to which you have no inherent right. Class and caste are front and center in every scene. Personal security is a phantom for some; for others it is bought with extreme violence and intimidation. Law and order are non-existent, life and death are in play at all times. There is civilized life out there, but it is utterly distant and impossible to attain; one must be born to it. This is at best a grim story, but not utterly without hope.

"The Water Knife" by the reliable Paolo Bacigalupi is a story of a near-future America suffering through the destruction of the American Southwest due to water shortages. The draining of the aquifers, combined with the lack of snow-melt from the Rockies, leaves California, Nevada, Arizona, and displaced Texans all struggling in a world where rivers are covered to prevent excess evaporation. Water rights become life or death matters for cities Las Vegas, LA, and Phoenix, AZ—where most of the action takes place.The ‘water knife’ is a euphemism for an enforcer of water rights and a hunter of anyone trying to access water without legal authority. Angel is one of the best, in the employ of the sharp female administrator of Las Vegas’s Water Authority, Catherine Case. He becomes involved with a hunt for a water-rights treaty granted to Native Americans—a priceless document so old that it would take precedence over all existing agreements—and in the process, becomes involved with a female reporter who’s gone from being an observer to being in the thick of the life and death struggle of everyone in Phoenix as the water runs out and the dangers only grow more unbeatable.However, the most frightening thing about this novel is its basis in fact—much of the disastrous environment described has been warned of in a non-fiction book, "Cadillac Desert: The American West and Its Disappearing Water" by Marc Reisner. That book was published in 1987, and much of what he warned about is starting to manifest itself—such as the present severe drought conditions in California.Like most doomsday-scenario stories, “The Water Knife” describes people on the edge, people in trouble, and twisted people who take advantage of chaos to create their own little fiefdoms of violence and tyranny. I never read such stories purely for the goth-like rush of people being cruel and dark—but in cases where I feel the story will give insight into something real, I put up with it—especially from a writer as good as Bacigalupi. And this is an exciting, engrossing tale of intrigue, passion, and ‘history as a hammer’, for all its darkness.

Near future, a future we are certainly going to face, unready as the characters in this book, I greatly enjoyed the read, I wish there were more novels like this. My experience was marred by multiple POV’s that became irritating, and still I couldn’t say whose story this was. The ending let me down; it was one that seemed to end because the paper ran out.

This is a pretty good story. It's a nice projection of current trends into the future regarding the scarcity of water and what people will do to control the supply and distribution of it. If you've seen Chinatown you'll have an idea of the importance of water rights which is what this story hinges on, and it's a pretty good description of the mood of this book.However where the two differ is Chinatown is a classic story in the noir mode, this is more a story about haves and have nots, those who have water are prosperous this includes states as well as people, those who don't are eking out a painful existence at best. The level of corruption and desperation to secure an essential ingredient for life is not surprising, and most of us would probably do the same in a similar situation to survive.Characters are interesting, there's some sex which isn't far fetched and quite a bit of violence. I've read it twice up to this point so far, and without giving too much away I'll say I liked the end, but I think they cheated in regards to a certain paper as we never really find out how it got to where it did, or why. Other than that leap of faith it's a good story, and if you want to see what the future will look like with with lots of people and not enough water to go around, you'll find this a good, if dark read.

Water Wars in the Southwest, taken up a notch. A water espionage thriller with a "water knife" agent from Las Vegas checking out suspicious activity in rival Phoenix, taking place with a background of Texas trash drought refugees and sinister California water agents. The scenario of this future water-parched near-dystopia is well outlined, and once you get a handle on the various parallel scenarios, you begin to really appreciate the tale Bacigalupi weaves. Some of these are a bit hard to grasp at first - the various characters and sub-plots start out with nothing in common - but have faith, they all do come together. The characters seem a bit one-dimensional, or maybe one-and-a-half dimensional, since they are more representative of their roles and their stratum of society, but it's far more character development than most "science fiction" has.

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